à Lyon !
| | Les blogs associés :Ce site n'est pas très réactif : Geneviève tient aussi deux blogs, pour éparpiller son grand savoir futurologique ...< ;-)) 
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"MOUVEMENT", c'est un retour aux sources...Le choix de "MOUVEMENT" plutôt qu'alliance ou tout autre terme n'est pas neutre, de la part de notre candidat : c'est un retour aux origines du "Mouvement", ainsi que se qualifiaient eux-mêmes les fondateurs du MRP. Rappelez-vous les hommages appuyés de François Bayrou à Gilbert Dru lors du meeting de Lyon (et sans doute d'autres). Ce retour aux sources salutaire devrait mieux inspirer les rédacteurs de pamphlets divers, qui ont parfois tendance à réinventer l'eau tiède... sans méchanceté aucune ! Voyez ce texte fondateur : "Libération de la France, libération de l'homme : tel est le but qu'assignait au Mouvement celui qui en restera le principal fondateur : Gilbert Dru, assassiné par la Gestapo, à Lyon, le 23 juillet 1944.
"Libération ! écrivait-il dans un rapport clandestin. Oui, c'est cette mystique qui nous anime aujourd'hui, alors que notre patrie est en totalité occupée. Mais c'est parce que cette libération du territoire national ne résoudra pas tous les problèmes, qu'elle doit être le prélude, le point de départ d'une autre libération plus vaste et plus totale qui fera tomber toutes les entraves à un épanouissement complet de la personne humaine."
Voilà pourquoi ce Mouvement a été créé."
"La réforme de l'entreprise comportera donc la participation des travailleurs à la propriété, à la gestion et aux profits, ces différents éléments étant inséparables. Mais le but étant de permettre aux hommes qui travaillent de vivre une vie d'hommes et non de machines sans intelligence et sans conscience, de nouvelles dispositions juridiques devront s'accompagner d'un progrès décisif dans l'organisation même du travail afin de favoriser le développement des facultés intellectuelles de chacun et son aptitude aux responsabilités." "La démocratie économique et sociale appelle donc des structures nouvelles qui ne s'accommodent ni des injustices du libéralisme ni des oppressions du marxisme, d'ailleurs liées les unes aux autres, comme les conséquences le sont aux causes aussi bien dans l'expérience qu'en théorie. Le marxisme apparaît comme l'aboutissement normal du libéralisme sans en être vraiment le remède. Vouloir, à rebours de l'évolution historique, défendre ou renforcer les vestiges du libéralisme, c'est accentuer la provocation économique et sociale au marxisme. Hâter l'avènement du marxisme, c'est préparer l'aggravation des maux issus du libéralisme." " L'Etat républicain doit corriger ce qu'a peut-être d'insuffisant le régime purement représentatif par l'introduction de la démocratie directe, par un contrôle effectif du suffrage universel sur les élus, par la représentation des intérêts collectifs.
Le Mouvement Républicain Populaire l'a tout de suite compris et a voulu orienter dans ce sens la nouvelle Constitution. Les obstacles soulevés par les autres partis l'en ont en grande partie empêché et n'ont pas permis en particulier la représentation au sein de la deuxième Assemblée des grandes collectivités économiques, sociales et intellectuelles qui auraient pu établir un lien plus direct et plus vivant entre les masses et l'Etat." réagir à cet article 
cote d'avenir : Bayrou 65% en mai...Trop tard, mais peut-être des regrets qui s'expriment début mai pour un ratage collectif au premier tour ?
« Plus des deux tiers des députés UDF ont choisi Sarkozy »Lettre ouverte d’un « jeune » militant aux députés UDFChers anciens élus, Quel projet est le vôtre ? Quel mauvais plan vous anime ? Quel pari (pascalien ou machiavélique) vous fait-t-il croire que votre stratégie fera gagner la démocratie et la nouvelle Alliance Démocrate, dans le cadre que nous avions tous validé pendant la campagne du premier tour. Le spectacle que vous donnez aux 6 820 119 électeurs est affligeant. Avez-vous estimé le nombre de ces nouveaux électeurs vont-ils se détourner de nos 577 candidats au premier tour du mois de juin ? Tout cela pour une vingtaine de sièges très hypothétiques ! En effet, comme député sortant de l’ancienne majorité, vous ne représentiez – au mieux – que les 6% de votants pour François Bayrou en 2002 (1 949 170 bulletins, soit 3,5 fois moins que cette année), alors alliés de l’UMP pour gagner les quelques circonscriptions concédées, mais résistants, dans le groupe parlementaire, à l’appel de la sirène du nouveau parti hégémonique. Je ne vous mettrai pas tous dans le même sac : je distingue ceux qui ont simplement indiqué une intention de vote personnel – conforme à la liberté de choix proposée par le toujours président de l’UDF – et ceux qui, à peine publiés les résultats du premier tour, se sont précipités sur les tribunes de l’autre candidat au mépris de la décence la plus élémentaire. Dès lundi, le maire de Rouen Albertini a montré l’exemple le plus caricatural. Nicolas Perruchot, le maire de Blois et député du Loir-et-Cher figurait, nous dit-on, en bonne place au meeting du candidat de l'UMP, dimanche à Bercy. Ce soutien ostensible et actif me paraît incompatible avec une appartenance au nouveau parti central, démocrate et libre. En effet, quelle que soit la configuration future, comment pourriez vous dans un nouveau groupe « croupion » du toujours OUI, exister politiquement et peser quelque peu dans le débat parlementaire futur ? Que deviendrez-vous en cas de défaite de votre nouveau mentor ? Je vous engage à rejoindre messieurs Santini et Robien dans la nouvelle UMP, où vous serez, je le crains, de peu de poids par rapport à une dérive autoritariste et franchement droitière. Sur le fond, je ne vous félicite pas d’avoir choisi sans la moindre réserve l’inéluctable menace sur les libertés publiques, le fonctionnement démocratique et la séparation des pouvoirs, l’écrabouillage prévisible de la « troisième chaise », au profit d’un prétendu accord sur un programme économique aux antipodes d’une pensée équilibrée : privilèges fiscaux, code du travail bafoué, marché du travail déséquilibré par des heures supplémentaires beaucoup moins coûteuses que l’embauche, etc. … Oubliez-vous notre position sur l’Europe ? Oubliez-vous la motion de censure de 2006 ? Avez-vous émis quelques réserves sur les autres aspects du programme Sarkozien ? Vous bafouez par votre attitude tous les nouveaux militants ou électeurs qui ont approuvé le discours d’ouverture, de dialogue, la nouvelle façon d’aborder la politique du « parti libre », de bousculer les lignes, de sortir des clivages « sempiternels ». Et voilà que vous retombez la tête la première dans le schéma honni : une alliance a priori, cédant probablement au marchandage – réel ou supposé – qui vous susurre que « vos » électeurs de 2002 « ne comprendraient pas un autre choix… etc ». Mauvais calcul : vous risquez fort de vous faire laminer par des électeurs qui n’apprécient guère les « girouettes » comme on peut le lire à longueur de blogs militants, même sans concurrent UMP en face de vous (ce qui ne me semble pas garanti du tout !) Si une stratégie subtile vous anime, je vous remercie de me le faire savoir. Si des pressions « amicales » vous ont quelque peu contraint aussi. Un bulletin réponse est disponible sur mon site : http://genev.tabouis.free.fr/contacteznous.htm Merci. réagir à cet article
Attendez vous à savoir ... ... .. et vous saurez !Le choix de "Geneviève Tabouis" illustre la volonté de pré-voir, j'ai donc construit ces pages de soutien à François Baÿrou (un site de plus...). Les pages originales portent sur une analyse prospective des sondages, et les news une sélection de médias, partielle et partiale !  Geneviève (1892-1985)
Pour entendre la voix de Geneviève Tabouis sur Radio Luxembourg : 2 décembre 1975, sommet de Dublin
Jamais je n'ai ressenti à ce point l'urgence de m'engager personnellement dans le débat politique.
Ma conviction pour les propositions de François Bayrou l'emporte désormais, et j'adhère je m'engage pour faire barrage aux dangers pour mon pays que représentent la "marchandisage" de la campagne électorale, les produits en tête de gondole remplaçant les projets de société. Dans les années 80, nous assistions hébétés à l'intrusion de la "communication", et toutes ses dérives financières car tout cela a fait exploser les besoins en financement des partis politiques. Dès la campagne présidentielle de 1974, je commençais à me détourner des partis convenus, car une dérive, sans cesse accentuée depuis, s'amorçait : le discours de campagne se concentrait dans la gestion de l'économie, au détriment des dimensions institutionnelle, éthique, culturelle, etc. "Ceci dit, quel plaisir de reprendre goût à la politique. Merci et bon courage." (commentaire piqué sur le forum  ) et en priorité : pour en finir avec les relents de la loi Le Chapelier et le Jacobinisme paralysant nos provinces, pour remettre en marche les corps intermédiaires, leur donner tous les moyens d'expression démocratique pour transformer les institutions territoriales vers une vraie subsidiarité, une efficacité retrouvée par une redistribution des compétences locales. pour en finir aussi avec le clanisme politique dévastateur, et avec les prises de position partisanes qui ressemblent à des adhésions communautaristes ("au delà de mes valeurs, je soutiens Untel car il favorisera mon clan, mon lobby, ma caste..."). Je veux parler d'un Roger Hanin, ou Lionel Stoléru, voire Simone ? Et de l'autre côté de l'incohérence des éléphants avec leurs perpétuels anathèmes, de la cohabitation contre nature des "oui-istes" et des "non-istes", de leur appétit insatiable de prébendes, d'appartenance au clan de ceux qui savent et qui gouvernent !
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