à Lyon !
| | Cote d'avenir "Tns-Sofrès" : avril 2007
François Bayrou en tête de toutes les personnalités suivant la cote de popularité mensuelle (Tns/Sofres pour le Figaro). Sondage fait par entretiens en tête à tête et non par téléphone, question : "voulez-vous me dire si vous souhaitez lui voir jouer un rôle important au cours des mois et des années à venir ?" Analyse des résultats sur ma page
Avertissement sur les sondages :
La polémique enfle sur les aléas sondagiers ! aussi, je vous propose une intéressante sélection de sources sur la méthode utilisée, et la notion bien mal intégrée d'incertitude relative et absolue propre à toute mesure... Wikipedia : Sondages
Wikipedia : sondage_sciences humaines
Sondages et marge d'erreur
Blog diner's room
Mentir aux sondeurs ? Manipulation des sondages :
La preuve de la manipulation éhontée des données par les officines de sondages est ici flagrante, et je m'en vais vous en faire la démonstration !
IPSOS réalise ce sondage quotidien par la méthode d'un échantillon "glissant" sur 3 jours, 350 personnes par jour constituant l'échantillon final "représentatif" de 1000 électeurs.
Voir la méthode sur leur site. Le dispositif d'enquête choisi par Ipsos consiste à interroger chaque soir de 300 électeurs /.../.../Les tendances qui se dégageront seront calculées à partir de « moyennes lissées ».
Que montre l'image ci-dessus, portant sur la fermeté des intentions de vote mesurée par ce sondage ? Des variations quotidiennes pouvant aller jusqu'à 11 ou 13 points, voire 16 points en un jour, la courbe "LePen" passant gaillardement de 65 à 81% entre le 28 et le 29 mars...
Ainsi, soient les jours consécutifs a, b, c et d : pour le jour "C" la valeur retenue serait (a+b+c)/3, et pour le jour suivant "D" (b+c+d)/3. La différence entre deux jours consécutifs est donc : (b+c+d)/3 - (a+b+c)/3 = (d-a)/3
pour une différence quotidienne de 16 points, (d-a)/3 = 16 => d-a=48
Il est complètement fantaisiste de penser qu'à quatre jours de distance, la fermeté de vote pour un candidat aurait grimpé de 48 points ! passant de 50 à 98% ou de 45 à 93%... Ou encore, elle aurait baissé de 33 points entre le 11 et le 14 mars !
Soit les échantillons quotidiens de 300 à 400 personnes présentent des variations énormes, soit l'officine IPSOS se livre à de la cuisine statistique à peine imaginable !
Je vous laisse choisir ...
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Un mois avant la présidentielle, les sondages sont souvent imprécis
http://fr.news.yahoo.com/21032007/5/un-mois-avant-la-presidentielle-les-sondages-sont-souvent-imprecis.html PARIS (AP) - Les sondages ne sont que la photographie d'une opinion publique qui peut varier rapidement et, à un mois de l'élection, ils ne permettent pas encore de se faire une idée précise de l'issue du premier tour, si l'on en croit les études réalisées lors des précédentes campagnes présidentielles. En 2002, l'enquête réalisée par la SOFRES les 22 et 23 mars plaçait Jacques Chirac en tête avec 23% des intentions de vote, juste devant Lionel Jospin (21%), mais avec une nette avance sur Jean-Marie Le Pen (10%). Ipsos leur donnait respectivement 24%, 22% et 9% dans un sondage réalisé aux mêmes dates. Un mois plus tard, 19,9% des Français votaient pour Jacques Chirac, 16,9% pour Jean-Marie Le Pen et 16,2% pour Lionel Jospin. En 1995, la SOFRES (sondage des 21 et 22 mars) plaçait Jacques Chirac en tête au premier tour avec 26% des intentions de vote, devant Lionel Jospin (22%) et Edouard Balladur (17%). En réalité, c'est Lionel Jospin qui était arrivé devant, avec 23,3% des voix contre 20,8% à Jacques Chirac et 18,6% à Edouard Balladur. AP lp/com/mw réagir à cet article
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